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Informations & Contact

samedi 19 février 2011, par Valentin.

Quelques questions que vous pourriez vous poser au sujet de ce [Site]...

Qui êtes-vous ?

Je m’appelle Valentin Villenave, et je me décris généralement comme musicien, geek et auteur Libre. Vous pouvez trouver mon C.V. par ici, et une présentation plus verbeuse par .

Puis-je vous contacter ?

Certainement ; c’est par ici.

Puis-je vous envoyer de l’argent ?

Si vous y tenez.

Puis-je vous passer une commande ?

Réponse courte :
Certainement. Ai-je mentionné que vous pouvez me contacter par ici ?

Réponse longue…

Je serai ravi de vous proposer mes services, que ce soit pour écrire de la musique, vous aider dans vos travaux d’édition ou d’arrangements, ou encore vous prêter main-forte en tant que pianiste (si vous vous trouvez en région parisienne).

Combien cela me coûtera-t-il ?

Réponse courte :
Il m’est impossible de vous le dire sans connaître votre projet.

Réponse longue…

Globalement, cela dépend :

  • de la durée (voir ci-dessous).
  • du nombre d’instruments (à noter que l’écriture « de soliste », utilisée même en musique de chambre, est bien plus difficile que l’écriture d’ensemble)
  • du langage utilisé (un arrangement, une chanson ou un « à la manière de » sont autant d’exercices qui reposent sur un langage musical pré-existant, et sont de ce fait très rapides à réaliser)
  • et sûrement d’autres contraintes auxquelles je ne peux penser dans l’immédiat.

Dans l’ensemble toutefois, la durée est le facteur le plus déterminant (voir ci-dessous).

De plus, je demande nettement plus cher (près du double) lorsque le commanditaire de la pièce s’oppose à ce que la partition commandée soit diffusée librement. (En général, c’est assez dissuasif.)

Combien vous faut-il de temps pour écrire une partition ?

Réponse courte :
Beaucoup.

Réponse longue…

Les gens sous-estiment souvent le temps nécessaire pour écrire de la musique. Par exemple, ne vous attendez pas à pouvoir me demander d’écrire une pièce de trois quarts d’heure sans avoir plusieurs milliers d’euros à y consacrer ! (Je le dis ici car la situation s’est déjà présentée.)

Il y a une explication à cela : c’est que, contrairement à la plupart des musiques que nous avons l’habitude d’entendre, dans lesquelles des fragments sont fréquemment repris et répétés, les partitions de musique « savante » écrites depuis près de deux siècles sont de plus en plus constituées entièrement de musique originale. Et je n’ai pas besoin de vous expliquer que le temps passé à écrire est beaucoup, beaucoup plus long que le temps que dure effectivement la pièce : pour vous donner une idée, je m’estime heureux lorsque j’ai écrit vingt secondes de musique en une journée de travail !

Pour être tout à fait honnête, d’autres compositeurs écrivent beaucoup plus vite que moi. Moi-même, je travaille bien plus vite lorsque je n’ai pas à inventer mon propre langage : ainsi il ne me faut que deux ou trois minutes pour écrire une chanson de variété ou un thème de jazz (mais je ne peux promettre que le résultat sera d’une grande originalité...).

Pourquoi diffusez-vous vos travaux gratuitement sur Internet ?

Pas « gratuitement » : Librement. Plus d’explications par ici.

Puis-je vraiment imprimer et jouer vos partitions ?

Bien sûr. N’hésitez pas à m’écrire un petit mot pour me faire part de vos commentaires, questions ou critiques.

Puis-je jouer vos pièces en public ?

Réponse courte :
Pas de problème : je vous demande simplement de citer la licence de l’œuvre, mon nom, et l’adresse de mon [Site] — http://valentin.villenave.net

Réponse longue…

Avant de reproduire, représenter ou diffuser un ouvrage, faites bien attention à la licence sous laquelle est il est publié : c’est elle qui vous indique ce qui est autorisé — pour tout ce qui n’est pas autorisé, vous devez me demander une autorisation spéciale.

La plupart du temps, les licences que j’utilise autorisent les représentations, même dans un cadre commercial. À une réserve près : si un spectateur souhaite enregistrer votre représentation, vous ne pouvez pas le lui interdire (voir ci-dessous).

Dans certains cas cependant (notamment pour mon premier opéra), la licence n’autorise pas les usages dans un cadre commercial, à moins de m’en demander l’autorisation. Cette autorisation, je serai bien sûr ravi de vous la donner, éventuellement moyennant une contrepartie financière dont nous pourrons discuter. Vous-ai-je déjà dit que vous pouviez me contacter par ici ?

Puis-je enregistrer une de vos pièces ?

Réponse courte :
Oui, à condition de respecter la licence. Dans ce cas, n’hésitez pas à m’envoyer votre enregistrement !

Réponse longue…

En interprétant une pièce, vous créez de fait une œuvre dérivée de l’œuvre d’origine qu’est la partition. Cette œuvre dérivée (dont vous êtes, d’une certaine manière, co-auteur), vous avez la possibilité de la diffuser à votre tour, mais je vous demande de la diffuser sous les mêmes conditions (c’est-à-dire avec la même licence) que la partition d’origine. En d’autres termes, vous ne pouvez interdire que quelqu’un vienne ensuite après vous et en fasse à son tour une nouvelle œuvre dérivée : remix, vidéo, que sais-je — évidemment, cette personne devra à son tour respecter les mêmes contraintes que vous, et ainsi de suite.

Là encore, si vous ne souhaitez pas autoriser les œuvres dérivées il vous faudra me demander l’autorisation de sortir du cadre de la licence.

Puis-je vendre un enregistrement de votre musique ?

Réponse courte :
Si la licence l’autorise, allez-y. Mais vous ne pourrez empêcher quiconque (moi le premier) de reproduire et distribuer à son tour l’enregistrement, même gratuitement si cela lui chante. À vous de voir si c’est rentable.

Réponse longue…

Une solution plus élégante serait peut-être de laisser l’enregistrement accessible gratuitement sur le Net, et de proposer d’autres moyens à votre public de vous payer (acheter un joli disque avec une jolie jaquette, faire un don, etc.). Je dis juste ça comme ça.

Attention, dans certains cas (notamment mon premier opéra, comme je le disais plus haut), la licence n’autorise pas les usages commerciaux. Pour pouvoir vendre un tel enregistrement il vous faudra obtenir mon autorisation, ainsi que celle de tous les interprètes qui sont autant de co-auteurs.

J’aime _beaucoup_ ce que vous faites.

Confidence pour confidence, moi non plus.

Valentin.

Messages

  • Bonjour Valentin,

    Je veux faire connaître Lilypond à un ami. Il est luthiste et reproduit en tablature (à la main) les partitions du clavecin que nous jouons ensemble dans un groupe. Ca lui prend un temps fou et j’ai décidé de reproduire ces mêmes partitions avec Lilypond. Après beaucoup de bagarres, de prises de tête et de reprises, d’essais, d’essais-bis- d’essais ter etc... j’ai enfin réussi à lui faire une trame de tablature dans laquelle, en y insérant les notes du clavecin, hop, la tablature est quasiment faite !

    Il m’avait dit, au début : « si tu y arrives, je veux bien prendre des cours de »ton logiciel«  ». Et maintenant, il doit passer à l’acte et « s’y mettre »

    Comme pour moi, je lui suggère de passer par ton tutoriel de base (le N° 1). Et c’est en passant justement sur ton site que j’ai eu la bonne idée de regarder « information et contact ». Tout y est clairement expliqué (réponse longue, réponse courte). Mais c’est surtout la dernière rubrique qui m’a fait beaucoup rire.

    (toute cette longue introduction pour une ligne « intéressante » !, le rendement n’est pas terrible !) :-) Et non, rien de plus à rajouter, rien d’autre. Bonne continuation

    • Bonjour, et merci d’être passé par ici ;
      fort heureusement, il existe encore des endroits dans cette fichue société où le « rendement » n’est pas recherché ! (Et j’aime à croire que le présent site est l’un de ces endroits.)

      Cela étant dit, je me disais justement que ces tutoriels gagneraient à être refaits un de ces jours, probablement en utilisant Frescobaldi plutôt que LilyPondTool... (Il n’y a pas que cela qu’il faudrait que j’ajoute sur mon site, d’ailleurs. Pffff.)

  • Bonjour,

    oups petite erreur sur votre site !

    La clarinette basse s’écrit en clé de Sol !

    cdlt

    • Vous avez raison (pour la petite histoire, la question s’était posée lors de la création de mon premier opéra en 2009, où il y avait une partie de clarinette basse assez chargée et montant dans l’aigu de l’instrument ; l’interprète avait décidé de tout jouer une octave plus bas parce que... ça lui plaisait mieux comme ça).

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